Graphisme → Design Graphique (BA) : Différence entre versions
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+ | Enseignant.e.s : [[Harrisson]], [[Sabine Voglaire]] | ||
+ | [[Fichier:Graphisme 1.jpg|vignette]] | ||
− | + | L’approche du cours se caractérise davantage par l’exploration de différents processus de création plutôt que de viser l’aboutissement d’une réponse à une question donnée. Sensibiliser au travail de l’image, de l’illustration graphique, du signe, de la typographie, de la mise en espace, du son. | |
+ | Le cours développe la notion de collaboration qui est essentielle à tout travail graphique. Apport de références hétéroclites, graphiques et transversales, partagées sous différentes formes. | ||
+ | Durant le premier quadrimestre, le cours propose d’expérimenter, par de multiples actions et réactions, des mécanismes de construction et de déconstruction propres à l’émergence de tout travail graphique. Nous manipulons les composantes du vocabulaire graphique tout en évaluant visuellement et physiquement les notions telles que mise à distance, seuil de lisibilité, impact, interaction. Nous envisageons le paysage visuel et sonore comme une palette de possibilités graphiques de prélèvement et d'exploitation. Le travail d’un large éventail d’autrices et de chercheur·euses de tous types est présenté et analysé collectivement pour en extraire, en autre, de multiples procédés de création. Un projet collaboratif est développé durant le deuxième quadrimestre en lien interne ou externe à l’école, pour déceler ses ressources et exploiter les notions de partenariat et de complémentarité. | ||
− | + | Pratiques collectives et individuelles. Mise en place et développement d’une méthodologie de l’expérimentation et de la recherche dans la façon d’aborder un travail graphique. Appréhender les contraintes comme des éléments dynamiques de construction et de déconstruction formels et conceptuels. Expérimenter la diversité des processus et des influences dans la pratique du graphisme aujourd'hui. Ouvrir la recherche à de nouvelles formes de production individuelle et collective. | |
− | + | ====Modules orientés Design Graphique==== | |
+ | °[[Dessin modulaire]] | ||
− | + | °[[NO-LOGO]] | |
− | + | ==== objectifs principaux du cours (B1) ==== | |
− | + | – Penser et travailler le graphisme, non pas comme une façon de transmettre uniquement des formes mais aussi comme une matière à penser et une manière de penser | |
− | + | - Envisager cette pratique comme un terrain de jeux exceptionnellement étendu et généreux | |
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+ | - Découvrir et exercer, dans ce cadre, des processus de déconstruction et de construction | ||
− | + | – Activer de nouvelles ressources en manipulant de l'image fixe ou animée, de la typographie, des signes, du son, des objets graphiques... | |
− | + | - Développer la notion de point de vue et d'appropriation en dévoilant ses intérêts et ses préoccupations | |
+ | ==== Bachelor 2 ==== | ||
− | + | Enseignante : [[Isabelle Jossa]] | |
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− | + | https://www.instagram.com/erg_graphisme_bac2_3/ | |
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+ | Les étudiant·e·s en graphisme sont amené·e·s à prendre position de manière critique et singulière en traversant des moyens propres au design graphique. Le travail de l’image, l’illustration graphique, le signe, la typographie, la mise en page, la mise en espace sont au cœur des propositions. L’objet du graphisme est celui de l’inscription. Le choix des outils et des mediums s’opère en adéquation avec les questions soulevées par le projet. | ||
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+ | Les ateliers envisagent le graphisme comme un outil d’analyse, de réflexion et d’investigation de la complexité du monde. En invitant à prendre conscience des enjeux de notre société qu’ils soient politiques, environnementaux, sociaux ou culturels, le graphisme est autant une matière à penser qu’une manière de penser. Le/la graphiste devenant acteur·rice plutôt qu’auteur·rice. | ||
+ | En Bachelor 2, l’objectif principal de l’atelier est d’amener les étudiant·e·s à engager une réflexion et à développer un point de vue par le biais d’une pratique portée sur l’expérimentation. La méthode est centrée sur « le faire » et sur le regard actif porté sur ce qui apparait. à l’aide d’outils analogiques et /ou numériques les propositions de travail permettent la poursuite de l’apprentissage des fondamentaux du graphisme : la fabrication et l’appropriation d’images et de signes, le travail de la couleur et de la forme, la composition, le rapport texte / image, le travail éditorial, la recherche liée à l’espace, le développement d’écritures singulières, les projets collaboratifs, etc. Par ailleurs, ces propositions posent directement ou indirectement la question de ce que veut dire être graphiste aujourd’hui. Car s’il arrive de travailler sur une demande concrète (une affiche, une publication, une participation à un concours), il s’agit de se demander comment celle-ci vise à l’aboutissement d’une proposition où les supports standards et les contenus constituent un espace de questionnement et de recherche plutôt qu’un simple support de communication. | ||
− | + | L’atelier explore et approfondit l’assimilation des fondamentaux du graphisme: la fabrication et l’appropriation d’images et de signes, le travail de la couleur et de la forme, la composition, le rapport texte / image, le travail éditorial au sens large mais aussi le graphisme lié à l’espace, les projets collaboratifs, etc. | |
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+ | L’atelier s’attache à faire émerger des écritures graphiques singulières et à pousser l’étudiant·e à développer un point de vue. | ||
− | + | Les propositions posent directement ou indirectement la question de ce que veut dire être graphiste aujourd’hui ainsi que de sa responsabilité citoyenne. | |
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− | + | ====Bachelor 3 ==== | |
− | + | Enseignant : [[Giovanni Guarini]] | |
− | + | https://www.instagram.com/erg_graphisme_bac2_3/ | |
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− | + | En Bachelor 3, la pratique du graphisme posera un regard critique tant au niveau des outils et du support (médium) que du regard porté sur notre société (contenu). Le graphisme envisagé comme pratique liée au développement de thématiques sociales, culturelles, écologiques, économiques, scientifiques ou politiques. Le graphiste, acteur plutôt qu’auteur, a un rôle actif et collaboratif dans le monde dans lequel il évolue. Réagir à ce qui nous touche, nous révolte, nous enthousiasme, nous émeut et porter un regard singulier qu’il soit humoristique, ironique, poétique, utopiste, cynique, réaliste, provocateur. L’étudiant·e sera amené·e à produire un travail graphique pertinent, concret et autonome, c’est à-dire « éditable » au sens large du terme, que ce soit un livre, une image, un texte à afficher ou un objet graphique à installer… Mais aussi s’engager pleinement dans une pratique généreuse où les notions de plaisir et de passion sont présentes. | |
− | + | — Le graphisme lié à l’espace. | |
− | + | Questionner les modes et la capacité d’action du graphisme au travers des formes qu’il mobilise et sur sa capacité de médiation, de diffusion de messages via des signes, d’objets graphiques, de textes et d’images dans l’espace public ou non. | |
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− | + | — Le graphisme et ses formes éditoriales. | |
− | + | Réflexion et pratique autour de la conception et la structuration d’objets éditoriaux (une affiche, un livre, un journal, un objet graphique dans l’espace ou tout autre forme) Questionner ce qui fait une édition. Récolte, production, choix et organisation de documents (images, texte, signes, objet, espace). Mise en espace, rythme, structure, typographique, matérialité et choix iconographiques. Ces choix feront sens et révèleront un point | |
+ | de vue particulier et pertinent sur le sujet. | ||
− | + | — À partir de la thématique proposée à l’atelier, les étudiant-e-s développent des pistes de travail, des sujets, du contenu. | |
+ | Iels se documentent (documents iconographiques, textuelles, audio-visuels). Des références servant aux projets sont présentées par les professeur-e-s et par les étudiant-e-s (livres, sites, films…) Les étudiant-e-s organisent cette documentation, Iels puisent dans ses références et dans celles partagées à l’atelier et sélectionnent ce qui est essentiel. Ils-elles se fabriquent une base de données, se trouve un univers visuel constitué de formes, de typographies, de gammes colorées, d’images, de combinaisons... c’est le moment des intuitions, du travail spontané. Discussion et échange collectif à l’atelier. | ||
− | + | — Ensuite iels rédigent une note, Iels y expriment leurs intentions et les enjeux de leur proposition. C’est le moment de l’analyse de ce qui a émergé. Ils-elles proposent alors des idées, des contenus, des engagements et des projets concrets. Échanges personnalisés. | |
− | + | — Enfin, mise au point conceptuelle et graphique du projet. Une attention particulière sera également portée à la mise en espace des projets. | |
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− | + | ==== projets des étudiant.e.s ==== | |
− | + | Yasmine Salem 2022 - Édition libre autour des notions d'identité. (extrait) | |
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− | Yasmine Salem 2022 - Édition libre autour des notions d'identité | ||
[[Fichier:Yasmine Salem - 2022.jpg|gauche|Édition autour des notions d'identité - Yasmine Salem 2022]] | [[Fichier:Yasmine Salem - 2022.jpg|gauche|Édition autour des notions d'identité - Yasmine Salem 2022]] | ||
[[Fichier:Yasmin Salem.jpg|gauche|Édition autour des notions d'identité - Yasmine Salem 2022]] | [[Fichier:Yasmin Salem.jpg|gauche|Édition autour des notions d'identité - Yasmine Salem 2022]] | ||
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[[Fichier:Justine Tribout IMG 8377+ copie.jpg|gauche|"Serie Label Posters" Justine Tribout - 2021]] | [[Fichier:Justine Tribout IMG 8377+ copie.jpg|gauche|"Serie Label Posters" Justine Tribout - 2021]] | ||
[[Fichier:Jeanne Germain 3+ copie.jpg|gauche|"Serie Label Posters" Jeanne Germain - 2021]] | [[Fichier:Jeanne Germain 3+ copie.jpg|gauche|"Serie Label Posters" Jeanne Germain - 2021]] | ||
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+ | Diego Garcia De Mira 2022 - Édition autour d'un objet - "La tente de l'Himalaya" et ses enjeux écologiques. (extrait) | ||
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+ | [[Fichier:DSC06498 b.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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+ | [[Fichier:DSC06503.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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+ | [[Fichier:DSC06504.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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+ | [[Fichier:DSC06508.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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+ | [[Fichier:DSC06510.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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+ | [[Fichier:DSC06514.jpg|Édition "Les tentes de l'Himalaya"]] | ||
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Version actuelle datée du 5 juin 2023 à 11:29
Sommaire
Bachelor 1
Enseignant.e.s : Harrisson, Sabine Voglaire
L’approche du cours se caractérise davantage par l’exploration de différents processus de création plutôt que de viser l’aboutissement d’une réponse à une question donnée. Sensibiliser au travail de l’image, de l’illustration graphique, du signe, de la typographie, de la mise en espace, du son. Le cours développe la notion de collaboration qui est essentielle à tout travail graphique. Apport de références hétéroclites, graphiques et transversales, partagées sous différentes formes.
Durant le premier quadrimestre, le cours propose d’expérimenter, par de multiples actions et réactions, des mécanismes de construction et de déconstruction propres à l’émergence de tout travail graphique. Nous manipulons les composantes du vocabulaire graphique tout en évaluant visuellement et physiquement les notions telles que mise à distance, seuil de lisibilité, impact, interaction. Nous envisageons le paysage visuel et sonore comme une palette de possibilités graphiques de prélèvement et d'exploitation. Le travail d’un large éventail d’autrices et de chercheur·euses de tous types est présenté et analysé collectivement pour en extraire, en autre, de multiples procédés de création. Un projet collaboratif est développé durant le deuxième quadrimestre en lien interne ou externe à l’école, pour déceler ses ressources et exploiter les notions de partenariat et de complémentarité.
Pratiques collectives et individuelles. Mise en place et développement d’une méthodologie de l’expérimentation et de la recherche dans la façon d’aborder un travail graphique. Appréhender les contraintes comme des éléments dynamiques de construction et de déconstruction formels et conceptuels. Expérimenter la diversité des processus et des influences dans la pratique du graphisme aujourd'hui. Ouvrir la recherche à de nouvelles formes de production individuelle et collective.
Modules orientés Design Graphique
objectifs principaux du cours (B1)
– Penser et travailler le graphisme, non pas comme une façon de transmettre uniquement des formes mais aussi comme une matière à penser et une manière de penser
- Envisager cette pratique comme un terrain de jeux exceptionnellement étendu et généreux
- Découvrir et exercer, dans ce cadre, des processus de déconstruction et de construction
– Activer de nouvelles ressources en manipulant de l'image fixe ou animée, de la typographie, des signes, du son, des objets graphiques...
- Développer la notion de point de vue et d'appropriation en dévoilant ses intérêts et ses préoccupations
Bachelor 2
Enseignante : Isabelle Jossa
https://www.instagram.com/erg_graphisme_bac2_3/
Les étudiant·e·s en graphisme sont amené·e·s à prendre position de manière critique et singulière en traversant des moyens propres au design graphique. Le travail de l’image, l’illustration graphique, le signe, la typographie, la mise en page, la mise en espace sont au cœur des propositions. L’objet du graphisme est celui de l’inscription. Le choix des outils et des mediums s’opère en adéquation avec les questions soulevées par le projet.
Les ateliers envisagent le graphisme comme un outil d’analyse, de réflexion et d’investigation de la complexité du monde. En invitant à prendre conscience des enjeux de notre société qu’ils soient politiques, environnementaux, sociaux ou culturels, le graphisme est autant une matière à penser qu’une manière de penser. Le/la graphiste devenant acteur·rice plutôt qu’auteur·rice.
En Bachelor 2, l’objectif principal de l’atelier est d’amener les étudiant·e·s à engager une réflexion et à développer un point de vue par le biais d’une pratique portée sur l’expérimentation. La méthode est centrée sur « le faire » et sur le regard actif porté sur ce qui apparait. à l’aide d’outils analogiques et /ou numériques les propositions de travail permettent la poursuite de l’apprentissage des fondamentaux du graphisme : la fabrication et l’appropriation d’images et de signes, le travail de la couleur et de la forme, la composition, le rapport texte / image, le travail éditorial, la recherche liée à l’espace, le développement d’écritures singulières, les projets collaboratifs, etc. Par ailleurs, ces propositions posent directement ou indirectement la question de ce que veut dire être graphiste aujourd’hui. Car s’il arrive de travailler sur une demande concrète (une affiche, une publication, une participation à un concours), il s’agit de se demander comment celle-ci vise à l’aboutissement d’une proposition où les supports standards et les contenus constituent un espace de questionnement et de recherche plutôt qu’un simple support de communication.
L’atelier explore et approfondit l’assimilation des fondamentaux du graphisme: la fabrication et l’appropriation d’images et de signes, le travail de la couleur et de la forme, la composition, le rapport texte / image, le travail éditorial au sens large mais aussi le graphisme lié à l’espace, les projets collaboratifs, etc.
L’atelier s’attache à faire émerger des écritures graphiques singulières et à pousser l’étudiant·e à développer un point de vue.
Les propositions posent directement ou indirectement la question de ce que veut dire être graphiste aujourd’hui ainsi que de sa responsabilité citoyenne.
Bachelor 3
Enseignant : Giovanni Guarini
https://www.instagram.com/erg_graphisme_bac2_3/
En Bachelor 3, la pratique du graphisme posera un regard critique tant au niveau des outils et du support (médium) que du regard porté sur notre société (contenu). Le graphisme envisagé comme pratique liée au développement de thématiques sociales, culturelles, écologiques, économiques, scientifiques ou politiques. Le graphiste, acteur plutôt qu’auteur, a un rôle actif et collaboratif dans le monde dans lequel il évolue. Réagir à ce qui nous touche, nous révolte, nous enthousiasme, nous émeut et porter un regard singulier qu’il soit humoristique, ironique, poétique, utopiste, cynique, réaliste, provocateur. L’étudiant·e sera amené·e à produire un travail graphique pertinent, concret et autonome, c’est à-dire « éditable » au sens large du terme, que ce soit un livre, une image, un texte à afficher ou un objet graphique à installer… Mais aussi s’engager pleinement dans une pratique généreuse où les notions de plaisir et de passion sont présentes.
— Le graphisme lié à l’espace.
Questionner les modes et la capacité d’action du graphisme au travers des formes qu’il mobilise et sur sa capacité de médiation, de diffusion de messages via des signes, d’objets graphiques, de textes et d’images dans l’espace public ou non.
— Le graphisme et ses formes éditoriales.
Réflexion et pratique autour de la conception et la structuration d’objets éditoriaux (une affiche, un livre, un journal, un objet graphique dans l’espace ou tout autre forme) Questionner ce qui fait une édition. Récolte, production, choix et organisation de documents (images, texte, signes, objet, espace). Mise en espace, rythme, structure, typographique, matérialité et choix iconographiques. Ces choix feront sens et révèleront un point de vue particulier et pertinent sur le sujet.
— À partir de la thématique proposée à l’atelier, les étudiant-e-s développent des pistes de travail, des sujets, du contenu.
Iels se documentent (documents iconographiques, textuelles, audio-visuels). Des références servant aux projets sont présentées par les professeur-e-s et par les étudiant-e-s (livres, sites, films…) Les étudiant-e-s organisent cette documentation, Iels puisent dans ses références et dans celles partagées à l’atelier et sélectionnent ce qui est essentiel. Ils-elles se fabriquent une base de données, se trouve un univers visuel constitué de formes, de typographies, de gammes colorées, d’images, de combinaisons... c’est le moment des intuitions, du travail spontané. Discussion et échange collectif à l’atelier.
— Ensuite iels rédigent une note, Iels y expriment leurs intentions et les enjeux de leur proposition. C’est le moment de l’analyse de ce qui a émergé. Ils-elles proposent alors des idées, des contenus, des engagements et des projets concrets. Échanges personnalisés.
— Enfin, mise au point conceptuelle et graphique du projet. Une attention particulière sera également portée à la mise en espace des projets.
projets des étudiant.e.s
Yasmine Salem 2022 - Édition libre autour des notions d'identité. (extrait)
"Serie Label Posters"
Diego Garcia De Mira 2022 - Édition autour d'un objet - "La tente de l'Himalaya" et ses enjeux écologiques. (extrait)