Lucille Calmel : Différence entre versions
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| + | avec Mathias Beyler la compagnie théâtrale expérimentale myrtilles ainsi que .lacooperative, un lieu | ||
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| + | Haute et Hélène Gugenheim), des rencontres et recherches sur le terrain en Grèce, France et | ||
| + | Belgique, une série de journées publiques dont 1+1 interespèces au sein du festival international de | ||
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Version du 24 septembre 2021 à 09:46
Lucille Calmel est performeuse, metteuse en scène, autrice, chercheuse et pédagogue. De 1990 à 1995, elle initie Les Trifides, un collectif de performeuses, puis dirige pendant dix ans avec Mathias Beyler la compagnie théâtrale expérimentale myrtilles ainsi que .lacooperative, un lieu de recherche et de résidence transdisciplinaire à Montpellier. Depuis son arrivée à Bruxelles en 2005, elle développe des collaborations, recherches et programmations en chair &,ou en ligne autour de la performance, de la poésie sonore et visuelle, des musiques expérimentales, des scènes numériques et des œuvres interespèces. Elle est invitée pour une rétrospective digitale au Centre Puertas de Castilla à Murcia (ES) en 2015. En 2019, la publication de la monographie when i’m bad i’m better éditée par Antoine Pickels est remixée par Kidnap Your Designer. Depuis 2019, au sein de la recherche fnrs/frART l’animal que donc je suis, performance avec-par-pour des animaux, sont à l’ouvrage des créations textuelles dont WE CATIFY, une publication à 4 mains avec Macklin Kowal dans la revue universitaire Formules, une programmation de pièces LOLanimales en collaboration avec Renaud Giuliano et Clyde Lepage à la fondation Fiminco à Romainville et à la galerie Les Limbes à Saint-Étienne (commissariat : Lucile Haute et Hélène Gugenheim), des rencontres et recherches sur le terrain en Grèce, France et Belgique, une série de journées publiques dont 1+1 interespèces au sein du festival international de performance Trouble le 10 juillet, à l’ERG le 6 octobre et à iMAL le 11 décembre 2021 à Bruxelles.