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Enseignante : [[Dominique Goblet]]
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L’atelier d’illustration explore la narration dessinée en relation directe avec ses formes d’écriture. Si le livre reste le lieu de tous les possibles, l’illustration aujourd'hui ne se cantonne plus au monde jeunesse et/ou à une fonction additionnelle du texte. Loin des clichés et stéréotypes, le champ de l’illustration ouvre sa pratique à une expression visuelle et poétique qui peut s’éloigner, voir, s’affranchir du livre et d’une production jeunesse, explorant d’autres finalités, ( installations, rapport au 3D, animation…et d’autres supports possibles ( expositions, web,...), rejoignant et tressant d’étroites relations avec les codes de la bande dessinée ( les deux champs se pratiquent d’ailleurs sans frontière dans l’atelier M1 & M2) , dans une dynamique de recherche, d’expérimentation, de remise de question des codes et de création.
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-Être capable d’envisager la narration sous ses formes les plus multiples, avec une idée, une hypothèse sur la finalité de l’objet narratif.
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-Questionner l’enjeu de la narration, être capable de l’expliciter, même dans une démarche de refus narratif.
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-Pouvoir travailler sur différents niveaux d’écriture concomitants (narration, expérimentation, militantisme) tout en en questionnant la forme et le fond dans son sens large (politique et responsable des enjeux et questions lié.es au monde).
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-Entretenir une connaissance du monde de l’illustration et de la bande dessinée, autant dans ses dimensions narratives que dans ses dimensions expérimentales.
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- Être capable de comprendre le médium dans sa forme, ses codes et ses limites et pouvoir faire bouger les frontières de ce médium dans d’autres champs artistiques.
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-Concrétisation de ces champs dans un objet / hypothèse : avoir conscience de ce que représente une année en terme de contrainte, être capable de développer un projet qui produise un squelette (partie théorique représentant l’hypothèse sous forme d’un synopsis et d’une note d’intention précisant les directions plastiques et narratives du projet), une séquence longue (lisible pour un public extérieur et suivie, qu’elle soit chronologiquement linéaire ou non) et une matrice de récit storyboardé qui donne à comprendre une vue globale de leur projet.
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Ce cours est donné conjointement avec [[Bande dessinée (MA)]].
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Version actuelle datée du 9 juin 2023 à 14:07

Enseignante : Dominique Goblet

L’atelier d’illustration explore la narration dessinée en relation directe avec ses formes d’écriture. Si le livre reste le lieu de tous les possibles, l’illustration aujourd'hui ne se cantonne plus au monde jeunesse et/ou à une fonction additionnelle du texte. Loin des clichés et stéréotypes, le champ de l’illustration ouvre sa pratique à une expression visuelle et poétique qui peut s’éloigner, voir, s’affranchir du livre et d’une production jeunesse, explorant d’autres finalités, ( installations, rapport au 3D, animation…et d’autres supports possibles ( expositions, web,...), rejoignant et tressant d’étroites relations avec les codes de la bande dessinée ( les deux champs se pratiquent d’ailleurs sans frontière dans l’atelier M1 & M2) , dans une dynamique de recherche, d’expérimentation, de remise de question des codes et de création.

Questionnement

-Être capable d’envisager la narration sous ses formes les plus multiples, avec une idée, une hypothèse sur la finalité de l’objet narratif.

-Questionner l’enjeu de la narration, être capable de l’expliciter, même dans une démarche de refus narratif. -Pouvoir travailler sur différents niveaux d’écriture concomitants (narration, expérimentation, militantisme) tout en en questionnant la forme et le fond dans son sens large (politique et responsable des enjeux et questions lié.es au monde).

Ouverture

-Entretenir une connaissance du monde de l’illustration et de la bande dessinée, autant dans ses dimensions narratives que dans ses dimensions expérimentales.

- Être capable de comprendre le médium dans sa forme, ses codes et ses limites et pouvoir faire bouger les frontières de ce médium dans d’autres champs artistiques.

Méthodologie

-Concrétisation de ces champs dans un objet / hypothèse : avoir conscience de ce que représente une année en terme de contrainte, être capable de développer un projet qui produise un squelette (partie théorique représentant l’hypothèse sous forme d’un synopsis et d’une note d’intention précisant les directions plastiques et narratives du projet), une séquence longue (lisible pour un public extérieur et suivie, qu’elle soit chronologiquement linéaire ou non) et une matrice de récit storyboardé qui donne à comprendre une vue globale de leur projet.

Ce cours est donné conjointement avec Bande dessinée (MA).