Voir la source de Galerie erg galerie 1978-1982 scripts - 20-26.11.2023

{{Actualités
|Published=2023-11-10
|Image=IMG_7597.jpg
}}
<p>En 1978, l&rsquo;&eacute;cole de recherche graphique, cr&eacute;&eacute;e un peu moins de cinq ann&eacute;es auparavant, commence &agrave; occuper un espace situ&eacute; sur la rue de la R&eacute;gence en face de l&rsquo;&eacute;glise du Sablon. Sous l&rsquo;impulsion d&rsquo;Elisabeth Barmarin, alors directrice de l&rsquo;&eacute;cole, et de discussions collectives organis&eacute;es par les &eacute;tudiant.e.s, cet espace, intitul&eacute; sobrement galerie erg, est organis&eacute; en autogestion par les &eacute;tudiant.e.s, prenant en charge sa r&eacute;novation, sa programmation, sa gestion.&nbsp;</p>
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<p>Cette &laquo;&nbsp;institution&nbsp;&raquo; au caract&egrave;re exp&eacute;rimental, agissant comme une sorte de miroir micro-institutionnel de la p&eacute;dagogie mise en &oelig;uvre dans l&rsquo;&eacute;cole, va d&eacute;ployer sur environ 5 ann&eacute;es, jusqu'en 1982, un programme original accueillant en majorit&eacute; des projets d&rsquo;&eacute;tudiant.e.s mais &eacute;galement d&rsquo;enseignant.e.s et de personnes ext&eacute;rieures &agrave; l&rsquo;&eacute;cole.&nbsp;&nbsp;</p>
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<p>Cette <span style="text-decoration: line-through;">exposition</span> n&rsquo;est pas une <span style="text-decoration: line-through;">exposition</span> d&rsquo;histoire ou d&rsquo;archives &agrave; proprement parler. Elle vise &agrave; se ressaisir de documents, d&rsquo;objets, d&rsquo;images pour en d&eacute;gager des motifs, des rythmes, des intensit&eacute;s. Elle est construite comme une partition o&ugrave; lors de chacune des journ&eacute;es seront activ&eacute;s un ou plusieurs scripts projetant, tel un effet boomerang, l&rsquo;histoire dans le maintenant.&nbsp;</p>
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<p>erg galerie</p>
<p>87 rue du Page</p>
<p>1050 Ixelles</p>
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<p>Du 20 au 26 novembre 2023</p>
<p>Tous les jours de 11h &agrave; 20h</p>
<p>Instagram&nbsp;: erg.galerie.erg</p>
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<p><strong>Programme</strong></p>
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<p>Sophie Nys, Mey Semtati, Walter Swennen</p>
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<p><strong>Lundi 20&nbsp;</strong></p>
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<p>La compagnie des arts m&eacute;nagers, Garance Debert, Luc Deleu (T.O.P. office), Max Ricat, Mallaury Scala</p>
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<p>18h performance de Garance Debert, Max Ricat et Mallaury Scala, avec la participation de Patrick Beckers&nbsp;</p>
<p>19h drink</p>
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<p>La journ&eacute;e commence tard et fort sur Jitsi ou whatever depuis le confort de la galerie, o&ugrave; les visites ne vont pas tarder &agrave; s'encha&icirc;ner. T2 atypique de pr&egrave;s de 135m2, appartement en duplex belle hauteur sous plafond et volumes audacieux, tr&egrave;s lumineux, orient&eacute; Sud-Sud-Est, plein de charme, meubl&eacute; discr&egrave;tement et avec go&ucirc;t, espace de vie accueillant convertible bureau, proche de toutes commodit&eacute;s. Ce genre de choses est dit au loin.</p>
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<p><strong>Mardi 21&nbsp;</strong></p>
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<p>Livia Cahn, Alain Chabeau, Juan d&rsquo;Oultremont, Denis Deprez, Daniel Dutrieux, Jacques Faton, Bernadette Kluyskens, Ananda Kohlbrenner, Virgile Loiseau, Arthur Manoukian, Jacqueline Mesmaeker, Nelly Monnier et Eric Tabuchi, Sol&egrave;ne Rigaut, Vincent P. Alexis</p>
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<p>11h intervention sonore de Virgile Loiseau</p>
<p>16h lecture de Vincent Glasmacher</p>
<p>18h projection et table ronde avec Livia Cahn, Denis Deprez, Jacques Faton, Ananda Kohlbrenner, Vincent P. Alexis&nbsp;</p>
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<p>Deux scripts s&rsquo;entrelacent.</p>
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<p>L&rsquo;ext&eacute;rieur de galerie erg, rue de la R&eacute;gence, et l&rsquo;int&eacute;rieur d&rsquo;erg galerie, rue du Page, sont des espaces publics (par l'intersection produite de leur rencontre). Ils traversent le temps, les &eacute;poques. La galerie s&rsquo;est d&eacute;plac&eacute;e, un espace a &eacute;volu&eacute;, tout comme l&rsquo;espace public autour de celle-ci. Des signes et &eacute;l&eacute;ments publics facilement discernables agissent comme des torsions temporelles dans l&rsquo;espace, constituant dans la galerie actuelle une topographie urbaine modifi&eacute;e, mani&egrave;re de rejouer un principe directeur de la galerie de l&rsquo;&eacute;poque, celle d&rsquo;&ecirc;tre une interface entre l&rsquo;int&eacute;rieur et l&rsquo;ext&eacute;rieur.&nbsp;</p>
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<p>Il s&rsquo;agira &eacute;galement de sols. En invoquant diff&eacute;rentes pratiques explorant entre autres des questions d&rsquo;urbanisation, d&rsquo;appropriation, de pollution, de construction et de d&eacute;construction, il sera question des statuts des territoires urbains, p&eacute;ri-urbains ou ruraux. Ce sera l&rsquo;occasion de visualiser nos rapports aux sols et aux enjeux qui les traversent (eux, sur lesquels nous imaginons et composons nos terrains d&rsquo;entente).</p>
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<p><strong>Mercredi 22</strong></p>
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<p>Jacques Charlier, Daniel Dutrieux, Diane Keumo, Wolfgang Loos et Frank Scherbaum, Oumou San&eacute;, Anne-Mie Van Kerckhoven</p>
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<p>11h diffusion d&rsquo;une pi&egrave;ce sonore de Wolfgang Loos et Frank Scherbaum</p>
<p>16h performance de Diane Keumo et Oumou San&eacute;&nbsp;</p>
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<p>Durant <em>Echelle 1: 1981 Schaal</em>, Jacques Charlier r&eacute;alise une mise en sc&egrave;ne o&ugrave; le sol &eacute;tait jonch&eacute; de cheveux coup&eacute; par C&eacute;sarina/Top Coiffure tandis qu&rsquo;au mur la photographie d&rsquo;une femme au cr&acirc;ne ras&eacute; &eacute;tait accroch&eacute;e. Charlier n&rsquo;est pas le seul &agrave; s&rsquo;&ecirc;tre empar&eacute; de la question du cheveu, portant attention &agrave; la coiffure comme paradigme de l&rsquo;art (autant celui de se couper les cheveux en 4, que de formes populaires et des bords marginaux de l&rsquo;art, de ses chutes). L'apr&egrave;s-midi, la galerie rentre dans l'intimit&eacute; d'une session de tressage, moment intime et banal sur les restes des anciens, il ne s&rsquo;agit plus tant de l&rsquo;art que de m&eacute;tissage, de tissage, de nouage. De l&rsquo;art conceptuel au postcolonial. Anne-Mie Van Kerckhoven r&eacute;alisait quant &agrave; elle, &eacute;galement pour <em>Echelle 1:1981 Schaal</em>, sa troisi&egrave;me &laquo;&nbsp;op&eacute;ration n&eacute;ocolonialiste&nbsp;&raquo;.&nbsp;</p>
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<p><strong>Jeudi 23</strong></p>
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<p>Th&eacute;o Casciani, Martine Cloots, Michel Couturier, Bernard Hubot, Bernadette Kluyskens, Monica Montes, Bernard Villers</p>
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<p>11h arpentage collectif</p>
<p>13h performance de Bernard Hubot</p>
<p>15h performance de Bernadette Kluyskens et Monica Montes</p>
<p>16h arpentage et table ronde avec Michel Couturier, Bernard Hubot, Bernadette Kluyskens, Bernard Villers</p>
<p>19h lecture de Th&eacute;o Casciani</p>
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<p>S&rsquo;arr&ecirc;ter, respirer. Regarder, se placer. Voir, &eacute;couter.</p>
<p>On parle souvent de l&rsquo;erg comme un espace de croisement disciplinaire, de croisement de th&eacute;orie et de pratique&nbsp;; probl&eacute;matiques impliquant aussi bien l&rsquo;espace int&eacute;rieur-ext&eacute;rieur comme celui de l&rsquo;individuel-collectif. Ce serait l&rsquo;avant, le maintenant et l&rsquo;apr&egrave;s de l&rsquo;&eacute;cole, peut-&ecirc;tre.</p>
<p>La dimension exp&eacute;rimentale, inh&eacute;rente &agrave; l&rsquo;erg, nous pousse &agrave; l&rsquo;inconnu, &agrave; sortir du cadre, aussi bien de notre propre cadre comme celui du cadre commun, et par cons&eacute;quent, cette dimension produit pratique et savoir.</p>
<p>Partant d&rsquo;une donn&eacute;e aussi simple que la couleur, quels croisements, nouveaux espaces, nouvelles sensibilit&eacute;s produira-t-elle ?&nbsp;</p>
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<p><strong>Vendredi 24</strong></p>
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<p>Ang&eacute;lique Aubrit et Ludovic Beillard, Louise Delanghe, K&aring;re Frang, Walter Swennen, Stephen Wright&nbsp;</p>
<p><br />15h projection de film d&rsquo;Ang&eacute;lique Aubrit et Ludovic Beillard&nbsp;</p>
<p>17h d&eacute;ambulation de Stephen Wright</p>
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<p>Dans le monde dystopique du n&eacute;ocapitalisme, o&ugrave; se situe le politique dans l&rsquo;art&nbsp;? En tant qu&rsquo;artistes, comment faire sens dans une r&eacute;alit&eacute; qui, tous les jours, perd un peu plus de son contenu&nbsp;? R&eacute;ussir &agrave; faire &laquo; lien &raquo; et mettre en lumi&egrave;re des v&eacute;rit&eacute;s que l&rsquo;on a laiss&eacute;es devenir absurdes. C&rsquo;est par une &eacute;pist&eacute;mologie de l&rsquo;art que l&rsquo;on trouvera peut-&ecirc;tre des d&eacute;buts de r&eacute;ponses. Faire art comme on fait une enqu&ecirc;te et retrouver le sens des histoires, l&rsquo;envers d&rsquo;un d&eacute;cor qui nous a &eacute;chapp&eacute;. Croiser les disciplines et inventer de nouvelles mani&egrave;res de penser&nbsp;: faire enfin sauter les compartiments cart&eacute;siens de nos biblioth&egrave;ques et accueillir l&rsquo;&egrave;re du classeur Mn&eacute;mosyne &agrave; pochettes plastiques.</p>
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<p><strong>Samedi 25</strong></p>
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<p>Bernadette Kluyskens, Diane Keumo, Oumou San&eacute;, Thomas Struth</p>
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<p>11h d&eacute;rive urbaine, d&eacute;part 26 rue de la R&eacute;gence, 1000 Bruxelles.&nbsp;</p>
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<p>Le jour avant la fermeture, c&rsquo;est rel&acirc;che. La galerie est ferm&eacute;e le matin, une d&eacute;ambulation est organis&eacute;e dans la ville : sorte de procession informelle. Point de d&eacute;part : galerie erg (26 rue de la R&eacute;gence). Point d&rsquo;arriv&eacute;e : erg galerie (87 rue du Page). Entre les deux points, on s&rsquo;&eacute;loigne spatialement du pass&eacute; vers le pr&eacute;sent, c&rsquo;est une marche entropique, un travail de collecte, on rep&egrave;re, on regarde, on glane, on ramasse. Il fait froid, c&rsquo;est novembre. On mange une soupe le midi, on r&eacute;invite les voisins et voisines. On inspecte, on trie et on installe les restes de la marche, on se les explique, on prend le temps de parler avec les un.e.s et les autres, nous, le public, l&rsquo;&eacute;cole, qui veut.&nbsp;</p>
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<p><strong>Dimanche 26&nbsp;</strong></p>
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<p>Guy-Marc Hinant, Monica Montes, Daniel Petit dit Dariel, Sim&eacute;on Droulers, EAT (erg &agrave; table)</p>
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<p>12h projection, Monica Montes, Rapha&euml;l Pirenne</p>
<p>16h performance de Daniel Petit dit Dariel</p>
<p>18h performance sonore de Guy-Marc Hinant</p>
<p>19h fermeture, Sim&eacute;on Droulers, EAT (erg &agrave; table)</p>
<p>&nbsp;</p>
<p>Fin de l'<span style="text-decoration: line-through;">exposition</span>, des signes, des mots, des images sont dessin&eacute;s, projet&eacute;s, convertis en nourriture pour &ecirc;tre regard&eacute;s, &eacute;cout&eacute;s, mang&eacute;s. On m&eacute;tabolise, sorte de synth&egrave;se d'une semaine &eacute;coul&eacute;e, le blanc d&rsquo;Espagne s'&eacute;coule des vitres, devient poudre sur le sol&nbsp;: le tombeau de l'exposition.&nbsp;</p>
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<p><strong>Colophon</strong></p>
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<p>Coordination pour les recherches et l'exposition&nbsp;: Rapha&euml;l Pirenne</p>
<p>L&rsquo;archive a &eacute;t&eacute; constitu&eacute;e entre 2021 et 2022 par&thinsp;: Vincent Bentolila, Clarisse Berrada, Gladys Bukolo Nzoloko, Sarah Chapuis, Louise Chopin, Corentin Deud&eacute;, Daniel Dutrieux, Bernadette Kluyskens, Louis Lep&egrave;re, Giuseppe Masia, Louise Ollivier, L&eacute;o Ouzegdouh, Rapha&euml;l Pirenne, Justin Roger Golano, Laleshka Salas Salazar, C&eacute;sar Schwartz, Laura Willems, Agathe Wolff.&nbsp;</p>
<p>&nbsp;</p>
<p>L&rsquo;exposition a &eacute;t&eacute; con&ccedil;ue et d&eacute;velopp&eacute;e entre 2022 et 2023 par et avec&thinsp;: S&eacute;gol&egrave;ne Ch&acirc;teau, Joseph Dofny, Daniel Dutrieux, Diane Keumo, Bernadette Kluyskens, Arthur Manoukian, Monica Montes, Rapha&euml;l Pirenne, Sol&egrave;ne Rigaut, Mey Semtati, Elo&iuml;se Tabouret, Agathe Wolff.</p>
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<p>La communication visuelle a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;e par Elo&iuml;se Tabouret avec le soutien et l&rsquo;assistance technique de Florence Delhaye, Am&eacute;lie Poitevin, Bastien Dubi&eacute;, Ludi Loiseau et Jo&euml;l Vermot&thinsp;/&thinsp;Harrisson.</p>
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<p>La num&eacute;risation de l&rsquo;archive a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;e avec le soutien d&rsquo;Antoine Meyer. L&rsquo;interface web permettant de naviguer dans l&rsquo;archive a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;e par St&eacute;phane No&euml;l.</p>
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<p>Nous remercions tous les artistes et personnes impliqu&eacute;es de pr&egrave;s ou de loin dans ce projet, en particulier&nbsp;:&nbsp;</p>
<p>Ang&eacute;lique Aubrit et Ludovic Beillard, Michel Assenmaker, Jules Baudoin, Rita Bong, Patricia Brossel, Jean-Louis Bruy&egrave;re, Livia Cahn, Th&eacute;o Casciani, S&eacute;raphine Claeys, Martine Cloots, Jacques Charlier, Danielle Cochard, Michel Couturier, Denis Dayez, Alain de Borger, Anne Degavre, Philippe De Gobert, Louise Delanghe, Luc Deleu (T.O.P. OFFICE), Frank Demaegd et Zeno X Gallery, Denis Deprez, Juan d&rsquo;Oultremont, Yves Desmet, Sim&eacute;on Droulers, Daniel Dutrieux, Michel Fran&ccedil;ois, K&aring;re Frang, Vincent Funken, Marie-Pascale Gildemyn, Vincent Glasmacher, Hanna Gorjaczowska, Cl&eacute;ment H&eacute;bert, Guy-Marc Hinant, Bernard Hubot, Philippe Jadot, Bernadette Kluyskens, La route du papier, Pierre Lenain, Paul Lhoir, Virgile Loiseau, Wolfgang Loos et Frank Scherbaum, Maggazino, Galerie Greta Meert, Jacqueline Mesmaeker, Andr&eacute; Moons, ERG New Engineering Studio, Sophie Nys, Birgit Pelzer, Daniel Petit dit Dariel, Armyde Peignier, Jos&eacute; Roland, Anne-Marie Rona, Jan Stuyck, Walter Swennen, Thomas Struth et Adrian Porikys, Xavier Thomisse, Pascale et Etienne Van den Doorn, Marc Van Hove, Isabelle Vanoost, Angel Vergara, Serge Verheylewegen, Nadja Vilenne et Jean-Michel Botquin, Bernard Villers, Monika Von Rautenstrauch, Stephen Wright.</p>
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<p>Pour le soutien administratif et logistique, nous remercions&nbsp;:&nbsp;</p>
<p>H&eacute;l&egrave;ne Bernard, Sylvie Bouteiller, Florence Delhaye, Sammy Del Gallo, Fr&eacute;d&eacute;ric Dupont, Igor Li&eacute;vin, Marcos Mateos, St&eacute;phane No&euml;l, Laurence Rassel, Wendy Toussaint Liebermann.</p>
<p>&nbsp;</p>
<p>&nbsp;</p>
<p>Ce projet a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute; avec le soutien de la F&eacute;d&eacute;ration Wallonie-Bruxelles.&nbsp;</p>

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