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Présentation du projet TRANS

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Actualités
Publiée 2017/10/20
/BORDER aux étudiant.e.s / Mardi 24 octobre à 16h —plateau Art
Transborder titrage 72-39ccc.jpg

Présentation du projet TRANS//BORDER aux étudiant.e.s

le mardi 24 octobre à 16h —plateau Art

Appel à tout.e.s les étudiant.e.s : participation au projet TRANS//BORDER
Exposition au Mucem Marseille du 16 au 18 mars 2018.

Théoricienne des médias (h)acktiviste, réalisatrice, spécialiste des études post-coloniales et des mouvements queer, pionnière du cyber-féminisme, Nathalie Magnan a été enseignante à l’école supérieure d’art de Dijon, puis de Bourges. Décédée en 2016, elle laisse une œuvre immense et un engagement sans frontières. Elle était une artiste de la relation. une artiste connectée, pirate, rebelle, radicale, enseignante.

Le Mucem accueillera au printemps 2018 un événement structuré par des sujets sur lesquels travaillait Nathalie Magnan, des questions qui la préoccupaient.
Compte tenu de l’importance de son enseignement, et, plus largement, de la transmission dans son œuvre, les étudiant.e.s d’Écoles d’art ont été invité.e.s à s’associer à l’élargissement de son travail.

Pour l’exposition au Mucem, nous travaillons à l’organisation d’une proposition collective pour l’erg qui prendra de multiples formes (édition, performance, animation, vidéo, radio, …). Ce groupe est ouvert à tout.e étudiant.e de l’école désireu.x.se de travailler sur ces questions (ou qui interroge déjà ces thématiques dans son travail).

Les propositions rassemblées dans une installation mobile (construction home made sur roues et à voile) se déplacera à Marseille et regroupera les différentes recherches menées ensemble au sein de l’erg.

Ces recherches auront comme point de départ :

Aux frontières du genre (questions de genres, approches queer, féminisme intersectionnel, …)

avec comme mode d’action, mot d’ordre, moyens de transgressionl’(H)ac(k)tivisme*. Qu’il soit conceptuel, réel ou virtuel, l’hacktivisme sera le fil rouge des différentes propositions. L’état d’esprit général du collectif.

  • "Un hack, c’est le recodage d’une tâche, un autre chemin pour arriver à ses fins, des fins qui peuvent aller d’un brillant raccourci à une infiltration

astucieuse des machines pour avoir accès au temps de calcul partagé dans un environnement très compétitif, au déplacement d’une problématique, au contournement d’une barrière, à un simple canular informatique. Une invention, une expérimentation ou même une subversion, c’est un challenge intellectuel."

"L’(H)ac(k)tivisme adhère à l’éthique du hacker. Ce n’est pas celle du blocage des machines mais de la surproduction/déplacement de sens. Du hack au logiciel libre, aux contenus libres, la hack attitude, pour s’insérer dans et questionner les dispositifs qui nous gouvernent, avec la conscience des formes que prennent ces dispositifs et la conscience de leur fonctionnement, les parcours sont multiples. Un geste politique sans forme n’aura pas de visibilité, une virtuosité technique sans l’intelligence du contexte n’aura pas d’efficacité". Nathalie Magnan

Caroline Dath, Xavier Gorgol, Pascale Barret, Bernadette Kluyskens, Dominique Lohlé, l‘Ergote Radio, …
Des questions sur le projet : caroline.dath@erg.be