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En remédiant à l’inadéquation des infrastructures, l'école souhaite construire un rempart face à de possibles situations de précarisations scolaires, mais également sociales et psychologiques. Aussi, le travail sur les infrastructures – souvent facteur d’exclusion – représente une étape importante pour une pratique et un vécu proprement collectif des lieux et des espaces de l’école.  
 
En remédiant à l’inadéquation des infrastructures, l'école souhaite construire un rempart face à de possibles situations de précarisations scolaires, mais également sociales et psychologiques. Aussi, le travail sur les infrastructures – souvent facteur d’exclusion – représente une étape importante pour une pratique et un vécu proprement collectif des lieux et des espaces de l’école.  
  
Le projet d'accessibilité de l’erg s’inscrit dans une réelle volonté de concrétisation du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif en organisant matériellement un « enseignement qui met en œuvre des dispositifs visant à supprimer ou à réduire les barrières matérielles, pédagogiques, culturelles, sociales et psychologiques rencontrées lors de l'accès aux études, au cours des études et à l'insertion socioprofessionnelle par les étudiant·es bénéficiaires ».
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Le projet d'accessibilité de l’erg s’inscrit dans une réelle volonté de concrétisation du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif en organisant matériellement un « enseignement qui met en œuvre des dispositifs visant à supprimer ou à réduire les barrières matérielles, pédagogiques, culturelles, sociales et psychologiques rencontrées lors de l'accès aux études, au cours des études et à l'insertion socioprofessionnelle par les étudiant·es bénéficiaires ».<br>
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'''ce projet a été réalisé avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de l'ARES'''</small>
 
'''ce projet a été réalisé avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de l'ARES'''</small>

Version actuelle datée du 31 mai 2024 à 16:19

En 2024, l'erg a mis en place une série d'aménagements qui ont pour visée d’adapter les espaces de l'école à l'accueil des étudiant·es à mobilité réduite. L'objectif de ces aménagements est d'assurer d'emblée un contexte d'autonomisation de l'ensemble des étudiant·es au sein de l'école.

L’acquisition d’une autonomie dans la pratique de l’établissement par les étudiant·es participe, entre autre, à la déconstruction de stéréotypes fondés sur l’idée d’une « normalité » valide. En effet, grâce à l'aboutissement d'une accessibilité totale, l’étudiant·e en situation de handicap est considéré·e, non pas par sa différence au regard de la norme valide, mais comme un·e étudiant·e pouvant faire l'expérience de l’école dans un partage égalitaire avec les autres étudiant·es.

En remédiant à l’inadéquation des infrastructures, l'école souhaite construire un rempart face à de possibles situations de précarisations scolaires, mais également sociales et psychologiques. Aussi, le travail sur les infrastructures – souvent facteur d’exclusion – représente une étape importante pour une pratique et un vécu proprement collectif des lieux et des espaces de l’école.

Le projet d'accessibilité de l’erg s’inscrit dans une réelle volonté de concrétisation du décret relatif à l’enseignement supérieur inclusif en organisant matériellement un « enseignement qui met en œuvre des dispositifs visant à supprimer ou à réduire les barrières matérielles, pédagogiques, culturelles, sociales et psychologiques rencontrées lors de l'accès aux études, au cours des études et à l'insertion socioprofessionnelle par les étudiant·es bénéficiaires ».

ce projet a été réalisé avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de l'ARES