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Différences entre les pages « Invitation à Vincent Meessen - 08.03.2022 » et « Disréalisme (Dans les ruines de la réalité) - Une conférence de Grégory Chatonsky - 30.03.2022 »

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{{Actualités
 
{{Actualités
|Published=2022-02-25
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|Published=2022-03-22
|Image=juste-un-mouvement.jpg
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|Image=_Gregory Chatonsky - Crédit _ Cité internationale des arts xMaurine_Tric_1.jpg
|Description='''INVITATION A VINCENT MEESSEN
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|Description='''Mercredi 30.03.2022 - 18h00 - AUDI PAGE'''
  
A l'initiative de [[Simona Denicolai]], enseignante en [[Art - Atelier pluridisciplinaire (B2)|Art - Atelier pluridisciplinaire ]].
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Ouvert à tou.te.s
 
RENCONTRE OUVERTE A TOUTE LA COMMUNAUTE' DE L'ERG // WELCOME !'''
 
 
'''SAVE THE DATE // MARDI 8 MARS : à partir de 16h DANS L'AUDIPAGE (projection à 16h30)'''
 
 
 
Projection du film 'Juste un mouvement' (108') de Vincent Meessen (échanges avec le réalisateur suite à la projection)
 
 
[https://www.justeunmouvement.film/#juste_un_mouvement JUSTE UN MOUVEMENT]
 
 
 
Au Sénégal, le nom d’Omar Blondin Diop est synonyme de crime d’Etat impuni. En France, il est surtout resté dans l’histoire comme un militant marxiste apparaissant dans La Chinoise, fiction d’anticipation politique de Jean-Luc Godard. Aujourd’hui à Dakar, ses frères et des proches se souviennent de lui tandis que la jeunesse locale joue son propre destin à l’imparfait du présent de la Chine-Afrique.
 
  
Belgique, France
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L'introduction de l'IA (ou réseaux de neurones récursifs) dans le champ de l'art contemporain n'est pas une question technique, au sens instrumental, ou de médium, mais signale la clôture paradoxale du photoréalisme hérité de la révolution industrielle. Grégory Chatonsky tentera, à travers ses expérimentations artistiques, de présenter les concepts d'hypermnésie, d'hyperproduction, d'imagination artificielle et de disréalisme pour définir notre époque où la vérité tremble de l'induction statistique et d'un jeu généralisé dont personne ne semble pouvoir s'échapper.
  
Production : Thank You & Good Night productions
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Depuis le milieu des années 90, '''Grégory Chatonsky''' travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau. À partir de 2001, il a commencé une série sur la dislocation, l’esthétique les ruines et l’extinction comme phénomène artificiel et naturel. Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une production humaine. Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’imagination artificielle qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance. Dans le contexte d’une extinction de l’espèce humaine, le réseau apparait alors comme une tentative pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre disparition.
 
 
Coproduction : CBA, Jubilee, Spectre
 
 
 
Avec le soutien du Centre du cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles
 
 
}}
 
}}

Version du 22 mars 2022 à 13:52

Actualités
Publiée 2022-03-22
Gregory Chatonsky - Crédit Cité internationale des arts xMaurine Tric 1.jpg

Mercredi 30.03.2022 - 18h00 - AUDI PAGE

Ouvert à tou.te.s

L'introduction de l'IA (ou réseaux de neurones récursifs) dans le champ de l'art contemporain n'est pas une question technique, au sens instrumental, ou de médium, mais signale la clôture paradoxale du photoréalisme hérité de la révolution industrielle. Grégory Chatonsky tentera, à travers ses expérimentations artistiques, de présenter les concepts d'hypermnésie, d'hyperproduction, d'imagination artificielle et de disréalisme pour définir notre époque où la vérité tremble de l'induction statistique et d'un jeu généralisé dont personne ne semble pouvoir s'échapper.

Depuis le milieu des années 90, Grégory Chatonsky travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau. À partir de 2001, il a commencé une série sur la dislocation, l’esthétique les ruines et l’extinction comme phénomène artificiel et naturel. Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une production humaine. Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’imagination artificielle qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance. Dans le contexte d’une extinction de l’espèce humaine, le réseau apparait alors comme une tentative pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre disparition.