Voir la source de Christophe Lemaître à l’erg La vie et la mort des oeuvres d’art, présentation et conférence mardi 8 novembre 2016, de 18h00 à 21h00, galerie de l’erg

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|Published=2016/10/28
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<span style="font-size:16px"><span style="font-family:arial,helvetica neue,helvetica,sans-serif">Christophe Lemaître à l'erg<br />
''La vie et la mort des oeuvres d'art'', présentation et conférence<br />
mardi 8 novembre 2016, de 18h00 à 21h00, galerie de l'erg</span></span><br />
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<span style="font-size:12px">L'erg vous invite à la présentation du livre de Christophe Lemaître </span>'''''La vie et la mort des œuvres d’art'''''<span style="font-size:12px">, publié par Tombolo Presses.</span><br />
<span style="font-size:12px">Cet événement, sous la forme d'une conférence, sera accompagné de la projection de l’œuvre vidéo de Alexis Guillier, </span>''Reworks''<span style="font-size:12px"> (20'), consacrée aux transformations du métal (de la balistique à la sculpture) et suivi d'un drink à la galerie de l'erg.</span><br />
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<span style="font-size:12px"><span style="font-family:arial,helvetica neue,helvetica,sans-serif">Recueil de récits et de textes d’essence théorique, ''La vie et la mort des œuvres d’art'' entend poursuivre l’entreprise abordée par l’exposition éponyme au Cneai (Chatou, France) en 2014, et lors du panel de discussion organisé chez Treize (Paris, France) en Novembre de la même année. Avec pour point de départ une collection d’objets qui furent des œuvres d’art et ne le sont plus, ce livre s’intéresse à différentes continuités matérielles et perceptibles traversées par la définition d’œuvre d’art. Il convoque plus généralement un certain nombre de questions liées à l’ontologie de l’œuvre d’art : de quelle manière une œuvre s’inscrit-elle dans la continuité matérielle de la forme qui la contient et l’excède ? De quelle façon ce temps de l’œuvre au sein de l’objet excède-t-il à son tour la durée d’une vie humaine ? Quelles raisons et quelles pratiques président à la conservation et l’entretien d’un artefact ? ''La vie et la mort des œuvres d’art'' se tient là où l’œuvre cesse, et tente d’écrire ce qu’elle devient. Recouvrement mutuel des figures de l’artiste et du restaurateur, chimères technologiques, entités biologiques substituées à l’intérieur d’une œuvre pour sa conservation, reconstitutions muséales, hyper-restauration, œuvres re-configurées physiquement et œuvres re-configurées chimiquement sont autant d’exemples qui composent les paysages de cet ouvrage.<br />
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Le livre a bénéficié du soutien à l’édition du Cnap.<br />
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Le livre dont il est question :<br />
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* « La vie et la mort des œuvres d’art » est le troisième développement d’un projet débuté d’abord par une exposition au Cneai (Novembre 2014-Mars 2015) et une table ronde chez Treize (Novembre 2015), </span></span>, dont vous trouvez 2 traces synthétiques ici :<br />
[https://www.facebook.com/events/1579993758888697/?mc_cid=3dc7f14088&mc_eid=%5BUNIQID%5D https://www.facebook.com/events/1579993758888697/]<br />
[https://www.facebook.com/events/573312116103798/?mc_cid=3dc7f14088&mc_eid=%5BUNIQID%5D https://www.facebook.com/events/573312116103798/]<br />
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<span style="font-size:12px"><span style="font-family:arial,helvetica neue,helvetica,sans-serif">Ce livre est un recueil de textes et récits d’essence théorique qui, au départ de considérations matérielles et matérialistes sur les œuvres d’art, convoque plus généralement un certain nombre de questions liées à l’ontologie de l’œuvre d’art : de quelle manière une œuvre s’inscrit-elle dans la continuité matérielle de l’objet qui la contient et l’excède ? De quelle façon ce temps de l’œuvre au sein de l’objet excède-t-il à son tour la durée d’une vie humaine ? Quelles raisons et quelles pratiques président à la conservation et l’entretien d’un artefact ? Il comporte des textes de Gregory Buchert (Le Musée domestiqué), du Bureau (Garance Chabert et Céline Poulin, sur le syndrome de Bonnard), de Amelia Groom (sur les photocéramiques du Musée Otsuka), de Petra Lange-Berndt (sur le remplacement du requin de Damien Hirst), de Nathalie Leleu (sur les répliques des Architectones de Malevitch faites par le Centre Pompidou), de Paul-Hervé Parsy (sur la restauration de Fountain), et moi-même (Avant-propos), ainsi qu’une série de photographies de Alexis Guillier.</span></span>


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