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Différences entre les pages « Espaces transversaux, pratiques collectives » et « Disréalisme (Dans les ruines de la réalité) - Une conférence de Grégory Chatonsky - 30.03.2022 »

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{{Actualités
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|Published=2022-03-22
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|Image=_Gregory Chatonsky - Crédit _ Cité internationale des arts xMaurine_Tric_1.jpg
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|Description='''Mercredi 30.03.2022 - 18h00 - AUDI PAGE'''
  
Une attention particulière est portée à ces espaces qui font cohabiter différents formats parallèlement : performance, vidéo, conférence, publication, graphisme. Ces formes se pratiquent collectivement, en apprenant et en interrogeant l’autre. Les conditions de travail posent la question du travail en groupe. Un groupe nécessaire à l’expérimentation. Et donc, poser ce travail en collectif au centre aussi de l’équipe enseignante et administrative. Et ainsi s’interroger sur comment se développe le travail de l’école, comment travaillent les artistes, les aut.eur.trice.s, les scientifiques. Leur demander d’observer les types de relations qui s’établissent, les protocoles qui se posent et quelle hospitalité est proposée.
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Ouvert à tou.te.s
  
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L'introduction de l'IA (ou réseaux de neurones récursifs) dans le champ de l'art contemporain n'est pas une question technique, au sens instrumental, ou de médium, mais signale la clôture paradoxale du photoréalisme hérité de la révolution industrielle. Grégory Chatonsky tentera, à travers ses expérimentations artistiques, de présenter les concepts d'hypermnésie, d'hyperproduction, d'imagination artificielle et de disréalisme pour définir notre époque où la vérité tremble de l'induction statistique et d'un jeu généralisé dont personne ne semble pouvoir s'échapper.
  
=== [[La BàG|BàG (Boîte à gants)]] ===
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Depuis le milieu des années 90, '''Grégory Chatonsky''' travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau. À partir de 2001, il a commencé une série sur la dislocation, l’esthétique les ruines et l’extinction comme phénomène artificiel et naturel. Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une production humaine. Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’imagination artificielle qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance. Dans le contexte d’une extinction de l’espèce humaine, le réseau apparait alors comme une tentative pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre disparition.
 
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===[[La Baraque]]===
 
 
 
=== [[Le Casier]] ===
 
 
 
=== [[Chasse ouverte]] ===
 
 
 
=== [[Cluster Club]] ===
 
 
 
=== [[EAT (erg à table)]]===
 
 
 
=== [[Erg Galerie]] ===
 
 
 
=== [[ERG melody]] ===
 
 
 
=== [[Erg - New Engineering Studio]] ===
 
 
 
=== [[Erg tv]]  ===
 
 
 
===[[Ergote Radio|ergote radio]] ===
 
 
 
=== [[ERG melody]] ===
 
 
 
=== [[Le FDDDL]] ===
 
 
 
=== [[Labobine]] ===
 
 
 
=== [[Permanence édition]] ===
 
 
 
=== [[Print Lab]]===
 
 
 
=== [[Program Physical Poetics]]===
 
 
 
===[[Rideau de perles|Rideau de Perles (rdp)]]===
 
 
 
=== [[Les semaines d'exercice de création et de recherche et la WinterSchool]] ===
 
 
 
=== [[Le séminaire de l'erg]] ===
 
 
 
===[[Teaching To Transgress|Teaching to Transgress]] ===
 
 
 
===+++===
 
 
 
===[[Autour de l'erg]]===
 

Version du 22 mars 2022 à 13:52

Actualités
Publiée 2022-03-22
Gregory Chatonsky - Crédit Cité internationale des arts xMaurine Tric 1.jpg

Mercredi 30.03.2022 - 18h00 - AUDI PAGE

Ouvert à tou.te.s

L'introduction de l'IA (ou réseaux de neurones récursifs) dans le champ de l'art contemporain n'est pas une question technique, au sens instrumental, ou de médium, mais signale la clôture paradoxale du photoréalisme hérité de la révolution industrielle. Grégory Chatonsky tentera, à travers ses expérimentations artistiques, de présenter les concepts d'hypermnésie, d'hyperproduction, d'imagination artificielle et de disréalisme pour définir notre époque où la vérité tremble de l'induction statistique et d'un jeu généralisé dont personne ne semble pouvoir s'échapper.

Depuis le milieu des années 90, Grégory Chatonsky travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau. À partir de 2001, il a commencé une série sur la dislocation, l’esthétique les ruines et l’extinction comme phénomène artificiel et naturel. Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une production humaine. Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’imagination artificielle qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance. Dans le contexte d’une extinction de l’espèce humaine, le réseau apparait alors comme une tentative pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre disparition.