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Différences entre les pages « Do Not Interrupt Your Activity » et « Sculpture (BA) »

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{{Actualités
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{{English|Sculpture Art}}
|Published=2019-11-08
 
|Image=Do Not Interrupt Your Activity.png
 
|Description=Événement transdisciplinaire artistique et de recherche
 
  
Proposé par espace p( )tentiel
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== Sculpture (B1-B2-B3) ==
  
Installations- Vidéos- Films - Live art- peintures- Lectures- Musique – Tables rondes
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Enseignant(s) : [[Frédéric Gaillard]]
  
'''Do not interrupt your activity''' réagit au temps minuté autant qu’ininterrompu du travail. L’expérience contemporaine du temps devenue anxiogène, intriquée à la probabilité de l’extinction des espèces, si elle se poursuit autrement, que pourrait-il en surgir ? Ce temps, nous le proposons, sous la forme d’une échappée, à ce qui fait habituellement l’activité, essayant de faire coïncider l’activité du travailleur, et l’activité du rêveur, à partir de la possibilité donnée aux visiteurs, d’une observation continue, définie non plus par le rendement, mais par l’expérience artistique. Rendre compte de l’expérience artistique, avec un autre degré de compréhension, est une forme d’expérience attentive de la situation. Les types d'expériences qui peuvent souvent se produire dans des projets artistiques socialement engagés (y compris des interventions radicales) sont représentatifs de ces actes d’attention. La création artistique se déploie, autant comme fiction critique, que comme espace attentif au réel. Une attention rendue manifeste, par la mise en œuvre de collaborations, entre des situations, des contextes, des personnes rencontrées, des intervenants. Ce partage d’expériences agit à l’intérieur d’un espace, offert par le champ artistique, mais aussi offert par la vie, en dehors de toute pratique artistique. Les expériences artistiques sont des expériences attentives à nos manières d’exister, à la réalité, à l’intelligence des situations. '''Do not interrupt your activity''' procédera selon un commissariat inversé, où les artistes donneront la mesure du temps et de l’espace, notamment à partir de leur propre relation à la temporalité ; actifs à jouer sur des reprises, des commencements, des interruptions, des durées non conventionnelles.
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En première année, une attention particulière est apportée à la découverte et à la pratique des matériaux, à l’acquisition de techniques et de modes de production liés aux modes opératoires de la sculpture ainsi qu’aux caractéristiques propres du geste sculptural. Prenant conscience de la diversité infinie des matériaux qui s’offrent à eux, les étudiants se les approprient, les transcendent en les retransmettant avec un statut enrichi, un déplacement d’ordre métaphorique, un autre champ référentiel.
  
[[Raya Lindberg]] et Nadège Derderian pour espace p ( ) tentiel
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L’exploration de cette diversité et la multiplication des expérimentations et des gestes posés permet d’initier une pratique personnelle et de l’inscrire dans l’histoire de l’art d’aujourd’hui. S’appuyant sur l’expérience acquise en première année par l’étudiant, le cours questionne davantage les matériaux, les médiums et les techniques utilisables dans le champ de la sculpture, au sens large, ainsi que les différentes notions qui en découlent. Une attention particulière est donnée à la sculpture et son rapport à l’espace ainsi qu’aux rapports qu’elle entretient avec les autres disciplines artistiques.
  
'''Artistes et intervenants'''
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Développer une pratique personnelle affirmée, consciente et autonome, et radicaliser le langage plastique sont les axes prioritaires de l’atelier.
  
DNIYA rassemble plasticiens, performeurs, chercheurs. Tous expérimentent  des manières attentives d’exister, et interrogent ce que signifient créer, agir dans une attention portée à la durée.
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En Bac 3, il n’y a plus d’exercices proposés. Les notions d’atelier-laboratoire et d’explorations restent importantes, l’étudiant devant conserver une pratique prospective.
  
Eve Bonneau (Belgique) 
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L’évaluation accorde une place importante à l’autonomie acquise par l’étudiant, nécessaire afin d’entamer le cycle des Masters. L’enjeu central de cette troisième année est l’approche hautement personnalisée et individualisée de la pratique de l’étudiant, tout en établissant des connections vers l’extérieur.
  
Tatiana Bohm (Belgique) 
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[[catégorie:B3]]
 
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[[catégorie:B2]]
Stéphane Bissières (France)
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[[catégorie:B1]]
 
 
Philippe Calandre ( France)
 
 
 
Claude Cattelain (Belgique)
 
 
 
Effi et Amir  (Belgique)
 
 
 
Raya Lindberg (Belgique)
 
 
 
Gary Farrelly (Belgique)
 
 
 
Gilles Hellemans  (Belgique)
 
 
 
Kika Nicolela (Belgique)
 
 
 
Robert Suermondt (Belgique)
 
 
 
Emmanuel Ferrand (France)
 
 
 
Ben Rivers (Royaume Unis)
 
 
 
06.12.19 17h-21h30
 
 
 
07.12.19 14h-22h
 
 
 
08.12.19 12h-18h
 
 
 
'''Performances sonores'''
 
 
 
Emmanuel Ferrand 07.12 à 20h
 
 
 
Stéphane Bissières 07.12 à 20h
 
 
 
'''Performances duratives'''
 
 
 
Eve Bonneau 07.12
 
 
 
'''Performances'''
 
 
 
Gary Farrelly 06.12 - 07.12
 
 
 
'''Conversations non stop avec les artistes'''
 
 
 
07.12.19 15-19h
 
 
 
'''Exposition'''
 
 
 
06.12 - 08.12 12-18h
 
 
 
[[Erg Galerie]]
 
}}
 

Version du 23 avril 2021 à 13:08

Sculpture (B1-B2-B3)

Enseignant(s) : Frédéric Gaillard

En première année, une attention particulière est apportée à la découverte et à la pratique des matériaux, à l’acquisition de techniques et de modes de production liés aux modes opératoires de la sculpture ainsi qu’aux caractéristiques propres du geste sculptural. Prenant conscience de la diversité infinie des matériaux qui s’offrent à eux, les étudiants se les approprient, les transcendent en les retransmettant avec un statut enrichi, un déplacement d’ordre métaphorique, un autre champ référentiel.

L’exploration de cette diversité et la multiplication des expérimentations et des gestes posés permet d’initier une pratique personnelle et de l’inscrire dans l’histoire de l’art d’aujourd’hui. S’appuyant sur l’expérience acquise en première année par l’étudiant, le cours questionne davantage les matériaux, les médiums et les techniques utilisables dans le champ de la sculpture, au sens large, ainsi que les différentes notions qui en découlent. Une attention particulière est donnée à la sculpture et son rapport à l’espace ainsi qu’aux rapports qu’elle entretient avec les autres disciplines artistiques.

Développer une pratique personnelle affirmée, consciente et autonome, et radicaliser le langage plastique sont les axes prioritaires de l’atelier.

En Bac 3, il n’y a plus d’exercices proposés. Les notions d’atelier-laboratoire et d’explorations restent importantes, l’étudiant devant conserver une pratique prospective.

L’évaluation accorde une place importante à l’autonomie acquise par l’étudiant, nécessaire afin d’entamer le cycle des Masters. L’enjeu central de cette troisième année est l’approche hautement personnalisée et individualisée de la pratique de l’étudiant, tout en établissant des connections vers l’extérieur.