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Différences entre les pages « (RIGHT IN) THE FEELS - Expressing feelings in the digital age » et « Économies Interstices - Séminaire de l'erg »

De erg

(Différence entre les pages)
 
 
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{{Actualités
 
{{Actualités
|Published=2020-09-07
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|Subtitle='''Talks, workshops et débats'''
|Image=Ritf.png
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|Published=2019-10-21
|Description=http://rightinthefeels.copyright.rip/
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|Image=72637406_381861969366351_8478698649885343744_n.jpg
 
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|Description=suivez l’élaboration du séminaire en [http://seminaire.erg.be/ LIVE]
https://www.instagram.com/rightinthefeels.xoxo/
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}}
 
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FR
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'''18-19-20 novembre 2019'''
  
Expositions collectives, en ligne et à Bruxelles
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==A propos==
  
14.09 - 24.10.2020
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L’économie capitaliste naturalisée confine les pratiques créatives dans des territoires de plus en plus restreints, normatifs et  ségrégatifs. Les voies toutes tracées qu’elle impose laissent de côté un  nombre grandissant de pratiques, d’ initiatives et de personnes. Mais dans les failles de cette économie monoculturelle imposée, dans ses fissures, dans ses interstices, d’autres modalités d’existence voient le jour, s’inventent et s’épanouissent. 
 +
Bien qu'il semble difficile d'agir efficacement et frontalement sur le modèle économique dominant, il est urgent de ne pas s'arrêter à un constat d’impuissance. Nous voulons montrer qu'il y a de l'espoir dans la nuit*. Cette volonté  sera le fil conducteur du séminaire de l’erg 2019, '''ÉCONOMIES INTERSTICES'''.
 +
Au travers de conférences, de témoignages, de partages d’expériences et d’ateliers. Ce séminaire sera l’occasion de réfléchir collectivement à d’autres modes d’existence et d'autre types de valeurs que celles liées à la production. Il s'agit de rencontrer celles et ceux qui construisent de nouvelles écologies des pratiques et qui mettent en place des alternatives.  
  
(RIGHT IN) THE FEELS est un projet transdisciplinaire concernant l’expression des sentiments à l’heure du numérique. Les émotions sont la base de notre compréhension du monde, et le numérique a poussé les affects à l’extrême. A-t-il aussi changé leur nature et la façon dont nous les communiquons et les comprenons ?
+
* ''hope in the dark'', Rebecca Solnit
  
14.09.20 - lancement de l'exposition en ligne -
 
  
http://www.rightinthefeels.copyright.rip
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Les économies des interstices, c'est imaginer, penser, créer avec peu, avec ce qui reste ou avec rien. Dans les ruines du capitalisme il ne nous reste que des devenirs minoritaires, des vies du fond des classes, des vies de dominés, des vies de sans-dents, de déclassés, voir de hors classes; réjouissons-nous. Quelles sont les économies artistiques possibles ?  On sait que les mouvements économiques qui affectent les artistes servent de terrain d'essai à ce qui affectera le monde; de la gentrification à la vie par projets, de la vie précaire à Uber, les artistes n'étant pas les moteurs de ces changements, mais ses souris en cage. Le capitalisme se sert des artistes comme la mesure étalon de son projet totalisant. Et si, ce coup-ci, les cobayes faisaient gripper la machine ? Quel économie de l'art imaginer pour après les subsides, après les centres d'art étatiques et les fondations, pour les à côté, les ruraux ou les ronds points, quelle économie de l'art qui ne serait pas orientée vers la satisfaction de notre seul intérêt, basée sur l'investissement de représentation sur le nom, sur l'auteur, sur la renommée mais dont les fondements seraient des moyens et des finalités qui serait celle du plus grand nombre plutôt que de l'un. Penser cette économie nous amènera à examiner les structures et projets qui traversent des parcours personnels navigant des marges aux cœurs, quand et à quelles conditions.
  
15.10.20 - vernissage de l'exposition en galerie - [[Erg Galerie]], 87 rue du Page, 1050 Ixelles
 
  
22.10.20 - lectures, conférences, projections - Auditoire de l'erg, 87 rue du Page, 1050 Ixelles
 
  
24.10.20 - dernier jour d'exposition
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==LES CONFÉRENCES==
  
EN
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===[[Stephen Wright]] : [[Faire usage]]===
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'''lundi 18 novembre, 10h'''
  
Group shows, online and in Brussels
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===[[Wages for Wages Against : They Say It Is Love. We Say It Is Unwaged Work|Wages for Wages Against ]]===
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'''lundi 18 novembre, 14h'''
  
14.09 - 24.10.2020
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===[[Sébastien Escande]] : [[Rencontre/discussion autour du livre UNDERGROUND BUSINESS]]===
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'''lundi 18 novembre, 18h'''
  
(RIGHT IN) THE FEELS is a transdisciplinary project about expressing feelings in the digital age. Emotions are a basic function for our understanding of the world, and the digital has pushed affect to its extremes. Has it also changed their nature, and the way we understand and communicate them?
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===[[Olivier Bertrand]] : [[Les banquiers aiment parler d'art, les artistes aiment parler d'argent]]===
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'''mardi 19 novembre, 14h'''
  
14.09.20 - launch of the online show -
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===[[Ministère des Arts Populaires]]===
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'''mardi 19 novembre, 18h'''
  
http://rightinthefeels.copyright.rip
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===[[Rotor DC]]===
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'''mercredi 20 novembre, 10h'''
  
15.10.20 - gallery show public opening - [[Erg Gallery]], rue du Page 87
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===[[After erg (comment s'en sortir)]]===
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'''mercredi 20 novembre, 14h'''
  
22.10.20 - talks, readings, screenings - Erg auditorium, rue du Page 87
 
  
24.10.20 - last day
 
  
'''AVEC / WITH'''
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==LES WORKSHOPS==
  
Expositions collectives / group shows
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===[[Wages for Wages Against : They Say It Is Love. We Say It Is Unwaged Work]]===
  
-May Abnet (BE)
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===[[0xDB]]===
  
-Mathilde Block & Louis Garrido (BE+FR)
+
===[[Our beautiful modular office desk set up]]===
  
-Tega Brain & Sam Lavigne (AUS+US)
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===[[Mise en commun2]]===
  
-Laura Brunisholz (BE)
+
===[[Les banquiers aiment parler d'art, les artistes aiment parler d'argent|La Perruque]]===
  
-Martin Campillo (FR)
+
===[[Workshop avec Robert Bonamy et Pierre Creton]]===
  
-Sarah Dessardo (FR)
+
===[[Workshop avec Sébastien Escande et Gaëlle Loth]]===
  
-Alexa Detorakis & Dimitri Karastokas (CAN/GRE)
+
===[[Super structure DEVIANT PROPOSIZIONE]]===
  
-Giuliana Diada (IT/BE)
+
===[[Hot Bodies]]===
  
-Darian Donovan Thomas (US)
+
===[[Maintenance And Breakdown : Intersections of Care invites Sofia Caesar]]===
  
-Héloïse Doret (BE)
+
===[[Penser le Rideau de Perles]]===
  
-Xavier Duffaut (BE)
+
===[[Valeur ajoutée - Économie circulaire et transformisme technoïde autour de Arduino]]===
  
-Thiaba Egutchi Diop & Lena O’Faigan Konishi (FR/JP/SEN & FR/IRL/JP)
+
===[[ERGTV Workshop]]===
  
-Gabriel René Franjou (FR/USA)
 
  
-Marie Frenois (FR)
+
== + PROJECTION==
  
-Madeleine Gerles (FR)
+
''Le bel été'', un film de [[Pierre Creton]], avant-première
  
-Léo Gillet (BE)
+
'''Bozar - lundi 18 - 20h00 - salle studio'''
  
-TPO (Technological Powers Observatory) (BE)
+
Robert, Simon et Sophie vivent au bord de la Manche dans un quotidien d’habitudes. Nessim va entrer dans leur vie, suivi d’enfants, que la situation politique de l’Afrique menace. Tous ont traversé la Méditerranée pour se réfugier en France. Ils vont vivre tous ensemble en Normandie le temps d’un bel été.
  
-Miebi Iyeyemi (FR/USA)
 
  
-Joséphine Jadot (BE)
 
  
-Clément Lambelet (CH/FR)
+
'''image:''' affiche créée par '''Jules Rousselet''', étudiant.
 
 
-Zeste Le Reste (FR/BE)
 
 
 
-Hadrien Loumaye (BE)
 
 
 
-Seokyung Kim (KR)
 
 
 
-Sophia Msaoubi (FR)
 
 
 
-Sylvain Peters (BE)
 
 
 
-Victoria Primina (BE)
 
 
 
-Kénia Raphaël (BE)
 
 
 
-Gladys Sauvage (BE)
 
 
 
-Laurel Schwulst & Gene McHugh (USA)
 
 
 
-Davy Styles (USA)
 
 
 
-Dorian Timmermans (BE)
 
 
 
-Yanmeng Zhang (CHN)
 
 
 
'''Résidences Instagram / Instagram Residencies'''
 
 
 
-Trevor Bazile (USA)
 
 
 
-Tom Galle (BE)
 
 
 
-Soaking Wet Angel (USA)
 
 
 
-Selyes (TR)
 
 
 
-Luz de Amor (CO/BE)
 
 
 
-Laura Brunisholz (BE)
 
 
 
'''Lectures / Readings'''
 
 
 
-Adebissi Agnes Adeye/ Butchibou (DE/BEN)
 
 
 
-Luz de Amor (CO/BE)
 
 
 
-Gabriel René Franjou (FR)
 
 
 
-Elke de Rijcke (BE)
 
 
 
-Loïs Soleil (FR)
 
 
 
'''Intervenant.es / Speakers'''
 
 
 
-Éric Cyuzuzo (BE)
 
 
 
-Giovanni Frazetto (IT/IR)
 
 
 
-Nargisse Mhammedi (BE)
 
 
 
-Peggy Pierrot (BE)
 
 
 
'''Organisation & Curation / Curation & Organization'''
 
 
 
-Martin Campillo (FR)
 
 
 
-Gabriel René Franjou (FR/USA)
 
 
 
-Laurie Giraud (FR)
 
 
 
-Colin Roustan (FR)
 
 
 
FR
 
 
 
Une nouvelle couche de réalité a été surimposée à notre monde, composée des multitudes du numérique. Nos vies sont aussi bien menées sur internet que dans la rue. Ce qui a pu autrefois nous paraître un univers distant et distinct a indéniablement envahi chaque recoin de nos existences. Quel est l’effet de ce totalitarisme technologique sur la plus élémentaire de nos fonctions humaines, nos émotions ?
 
 
 
Le numérique a poussé les affects à leurs extrêmes, que ce soit dans la banalité engourdissante des réseaux sociaux ou dans la surcharge des débats viraux; dans la distorsion du temps et de l’espace ou l’ultra accessibilité de l’information. Sur internet, nous sommes témoins d’honnêteté et de vulnérabilité touchante, ainsi que d’inauthenticité flagrante. L’état émotionnel de notre monde numérique nous affecte de façon puissante et viscérale – tandis que la neuroscience nous apprend que les émotions sont avant tout des réactions physiques.
 
 
 
Internet nous a clairement montré le côté multiple des émotions : maintenant plus que jamais, l’on comprend que les émotions sont politiques et sociales. Ces 10 dernières années, nous avons été forcés de nous rappeler, parfois douloureusement, que l’émotion reste la force motrice de la société - des témoignages du mouvement #metoo aux nombreux scandales de fake news. Sans compter que certain.es spéculent avec les émotions, comme avec les données ; elles peuvent être manipulées, contrôlées, fabriquées et surveillées, que ce soit par des gouvernements, des intérêts privés ou des sociétés gargantuesques qui conçoivent les interfaces que nous utilisons (à terrible coût humain et environnemental). Et en parallèle, via ces interfaces, des communautés liées s’organisent et l’épanouissement personnel peut fleurir là ou ailleurs il n’a su s’enraciner. D’un bout à l’autre, les émotions sont prévalentes dans cette nouvelle réalité. Internet est donc un concentré d’affects qui se multiplient et s’entrechoquent : les memes, les forums, les tweets, les stories, les emojis, les tutoriaux, les vlogs, même les articles wikipedia, tout ce qui compose internet est de l’information en mouvement chargée en expressivité et repose sur une même structure sous-jacente : du code, c’est à dire du langage à l’état pur.
 
 
 
Internet, à l’instar du langage, est l’un des outils les plus complexe et performant pour l’expression des sentiments, et à ce titre, il est absurde de penser que le médium n’ai pas affecté le message. Nous façonnons nos outils, puis nos outils nous façonnent. Comment est-ce qu’internet a modifié notre rapport à nos émotions ? Nous appréhendons le monde à travers nos sentiments – trouver des moyens efficaces de les exprimer dans un monde où le nihilisme est - à juste titre peut-être - généralisé, un monde où nous sommes de plus en plus conscients de nos échecs en tant qu’espèce, de la complexité globale de, en fait, tout, est essentiel pour rester lucide et tout simplement vivre, aussi longtemps qu’on le pourra.
 
 
 
EN
 
 
 
Our world now has another layer of reality on top of it, one made up of everything digital. Our lives are lived as much on the internet as they are in the streets. What might have once seemed like a distant and separate world has undeniably infiltrated every corner of our existences. What is the effect of this technological takeover on our most basic human function, our emotions ?
 
 
 
The digital has pushed affect to its extreme, whether in the mind numbing banality of social media or the overload of viral debates; the warping of space-time or the ultra accessibility of information. On the internet, we witness touching vulnerability and honesty, as well as blatant inauthenticity. The emotional state of our digital world is affecting us in strong and visceral ways – the physicality of the internet is no longer under question, just as neuroscience has shown us that emotions are first and foremost a physical reaction.
 
 
 
The internet has confirmed the multifaceted aspect of emotions : now more than ever, we know that they are social and political. In the past decade, we were sometimes painfully reminded that emotion is still the driving force of society, from the personal testimonies of the #metoo movement to the numerous fake news scandals. And emotion, like data, is also traded and speculated on, manipulated, fabricated and monitored, whether by governments, private interests or massive corporations that design and control the interfaces we use (with catastrophic human and environmental impact). And on the other hand, via these interfaces, close communities organize themselves and personal development flourishes where elsewhere it failed to grow. Any way you look at it, feelings are prevalent in this new reality. Thus, the internet is a whole lot of affect crashing and speeding and multiplying : memes, forums, tweets, temporary stories, emojis, tutorials, vlogs, wikipedia articles even, everything that makes up the internet is moving information loaded with expressivity and it all relies on one underlying structure : code, or in other words, pure language.
 
 
 
The internet, akin to language, is the one of the greatest and most complex tool ever for expressing feelings, and in this light, it is impossible to assume that the medium hasn’t affected the message. We shape our tools, and thereafter they shape us. How has the internet affected our relationship to our emotions ? We process the world through feelings – finding ways of effectively expressing them in a world where nihilism reigns (perhaps rightly), a world where we are ever more aware of our own shortcomings as a species, of the global complexity of, well, everything, really, is essential for staying sane and, simply, living, as long as we can.
 
}}
 

Version du 19 mars 2021 à 09:59

Actualités
Publiée 2019-10-21
Talks, workshops et débats
Erreur lors de la création de la miniature : Fichier manquant

suivez l’élaboration du séminaire en LIVE


18-19-20 novembre 2019

A propos

L’économie capitaliste naturalisée confine les pratiques créatives dans des territoires de plus en plus restreints, normatifs et ségrégatifs. Les voies toutes tracées qu’elle impose laissent de côté un nombre grandissant de pratiques, d’ initiatives et de personnes. Mais dans les failles de cette économie monoculturelle imposée, dans ses fissures, dans ses interstices, d’autres modalités d’existence voient le jour, s’inventent et s’épanouissent. Bien qu'il semble difficile d'agir efficacement et frontalement sur le modèle économique dominant, il est urgent de ne pas s'arrêter à un constat d’impuissance. Nous voulons montrer qu'il y a de l'espoir dans la nuit*. Cette volonté sera le fil conducteur du séminaire de l’erg 2019, ÉCONOMIES INTERSTICES. Au travers de conférences, de témoignages, de partages d’expériences et d’ateliers. Ce séminaire sera l’occasion de réfléchir collectivement à d’autres modes d’existence et d'autre types de valeurs que celles liées à la production. Il s'agit de rencontrer celles et ceux qui construisent de nouvelles écologies des pratiques et qui mettent en place des alternatives.

  • hope in the dark, Rebecca Solnit


Les économies des interstices, c'est imaginer, penser, créer avec peu, avec ce qui reste ou avec rien. Dans les ruines du capitalisme il ne nous reste que des devenirs minoritaires, des vies du fond des classes, des vies de dominés, des vies de sans-dents, de déclassés, voir de hors classes; réjouissons-nous. Quelles sont les économies artistiques possibles ? On sait que les mouvements économiques qui affectent les artistes servent de terrain d'essai à ce qui affectera le monde; de la gentrification à la vie par projets, de la vie précaire à Uber, les artistes n'étant pas les moteurs de ces changements, mais ses souris en cage. Le capitalisme se sert des artistes comme la mesure étalon de son projet totalisant. Et si, ce coup-ci, les cobayes faisaient gripper la machine ? Quel économie de l'art imaginer pour après les subsides, après les centres d'art étatiques et les fondations, pour les à côté, les ruraux ou les ronds points, quelle économie de l'art qui ne serait pas orientée vers la satisfaction de notre seul intérêt, basée sur l'investissement de représentation sur le nom, sur l'auteur, sur la renommée mais dont les fondements seraient des moyens et des finalités qui serait celle du plus grand nombre plutôt que de l'un. Penser cette économie nous amènera à examiner les structures et projets qui traversent des parcours personnels navigant des marges aux cœurs, quand et à quelles conditions.


LES CONFÉRENCES

Stephen Wright : Faire usage

lundi 18 novembre, 10h

Wages for Wages Against

lundi 18 novembre, 14h

Sébastien Escande : Rencontre/discussion autour du livre UNDERGROUND BUSINESS

lundi 18 novembre, 18h

Olivier Bertrand : Les banquiers aiment parler d'art, les artistes aiment parler d'argent

mardi 19 novembre, 14h

Ministère des Arts Populaires

mardi 19 novembre, 18h

Rotor DC

mercredi 20 novembre, 10h

After erg (comment s'en sortir)

mercredi 20 novembre, 14h


LES WORKSHOPS

Wages for Wages Against : They Say It Is Love. We Say It Is Unwaged Work

0xDB

Our beautiful modular office desk set up

Mise en commun2

La Perruque

Workshop avec Robert Bonamy et Pierre Creton

Workshop avec Sébastien Escande et Gaëlle Loth

Super structure DEVIANT PROPOSIZIONE

Hot Bodies

Maintenance And Breakdown : Intersections of Care invites Sofia Caesar

Penser le Rideau de Perles

Valeur ajoutée - Économie circulaire et transformisme technoïde autour de Arduino

ERGTV Workshop

+ PROJECTION

Le bel été, un film de Pierre Creton, avant-première

Bozar - lundi 18 - 20h00 - salle studio

Robert, Simon et Sophie vivent au bord de la Manche dans un quotidien d’habitudes. Nessim va entrer dans leur vie, suivi d’enfants, que la situation politique de l’Afrique menace. Tous ont traversé la Méditerranée pour se réfugier en France. Ils vont vivre tous ensemble en Normandie le temps d’un bel été.


image: affiche créée par Jules Rousselet, étudiant.